Le principe de la promenade sonore consiste à parcourir l’espace urbain en étant attentif à aux environnements sonores traversés. L’objectif est de comprendre en quoi la forme urbaine, les activités qui se déroulent dans la ville, comme autant de multiples sources de bruit (sans que ce terme soit pris dans un sens péjoratif) caractérisent à un instant donné cet espace urbain. Le parcours choisi partira du lieu de la conférence qui se sera tenue le 23 février au soir. Le partage des impressions de chacun fait partie de façon intrinsèque de l’expérience d’immersion sonore dans la ville.
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Samedi 25 février 2023 à 11h30
Lieu de rendez-vous : devant l’Athénée Père Joseph Wresinski, Place Saint-Christoly, 33000 Bordeaux
Intervenante : Cathy Semidor, Co-fondatrice et administratrice de l’association L’ouïe m’enchante
Tarifs : 6€ pour les non adhérents // 3€ pour les adhérents
Gratuit pour scolaires, étudiants, demandeurs d’emploi et titulaires de la Carte Jeunes Bordeaux
Pendant
vingt-cinq ans, entre 1924 et 1949, Aino (1894-1949) et Alvar Aalto (1898-1976)
ont formé le couple le plus influent dans le domaine de l’architecture et du
design, bien au-delà des frontières de leur Finlande natale. Collaborateurs et
parfois rivaux, ils sont tous deux diplômés de l’École centrale des arts et du
design d’Helsinki, qui porte depuis 2010 leur nom. Alors
qu’Alvar Aalto est aujourd’hui considéré comme l’architecte finlandais le plus
connu de sa génération (figure à succès de nombreux ouvrages et expositions),
le travail de son épouse fait l’objet d’une mise en lumière récente. Aino Aalto
joue en effet un rôle clé dans la constitution d’une pensée et d’une œuvre
commune qui placent l’homme au cœur du processus de création, en harmonie avec
la nature, équilibrant forme et fonction.
Illustration : AALTO-Villa_Mairea – DR Wikipedia Commons – Crédit : D. R.
Réalisée
entre 1937 et 1939, la villa Mairea
illustre la pensée du couple Aalto où sophistication
architecturale et aménagement intérieur chaleureux s’équilibrent.
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Mardi 28 février 2023 de 19h à 20h30
Lieu de rendez-vous : Athénée Père Joseph Wresinski, Place Saint-Christoly, 33000 Bordeaux
Intervenant : Mathieu Marsan, médiateur culturel
Tarifs : 6€ pour les non adhérents // 3€ pour les adhérents
Gratuit pour scolaires, étudiants, demandeurs d’emploi et titulaires de la Carte Jeunes Bordeaux
Depuis son annonce en 2008, la Tour Triangle cristallise l’attention d’observateurs multiples tandis que, de leur côté, maitre d’œuvre et maitre d’ouvrage composent une jonglerie verbale qui alterne assurance et défense, superlatifs et précautions oratoires. Dessinée par l’agence suisse Herzog et de Meuron, la tour Triangle est un objet cristallin pensé à la limite méridionale de Paris, dont les visuels 3D vont jusqu’à suggérer l’immatérialité. Cette prétendue neutralité – ou inoffensivité – dans le paysage parisien illustre et accuse l’ambivalence d’un projet qui peine, par ailleurs, à convaincre de son utilité programmatique. Toutefois, l’histoire spécifiquement parisienne de la tour, qui démarre dans la seconde moitié du xixe siècle avec les aérodômes de Henri-Jules Borie, dévoile le spectre des querelles, intrépidités, reculades, déceptions et frustrations qui n’ont eu de cesse de perturber la démarche de plan, alimentant, du côté de l’opinion, la déconsidération voire le mépris vis-à-vis de ce stigmate babélien. De ce point de vue, la tour Triangle ne serait-elle pas qu’un nouveau chapitre prévisible ?
Ces conférences en ligne sont proposées gratuitement à nos adhérents 2023 et réservées à eux. Si vous n’avez pas adhéré en 2023 et souhaitez suivre cette conférence, vous pouvez adhérer pour le cycle ici.
Afin de permettre le suivi du nombre de participants, nous vous demandons de vous limiter à une inscription par personne, même dans le cas où, pour des personnes vivant ensemble, un seul appareil serait utilisé pour assister à la conférence.
Elles dureront 30-40 min et seront suivies d’un temps dédié aux questions.
Inscription habituelle via HelloAsso. Vous recevrez ensuite par mail, 30 min avant la conférence, un lien qui vous permettra de rejoindre la visio-conférence.
Les conférences auront lieu sur l’application Microsoft Teams. La procédure à suivre pour rejoindre la conférence vous est expliquée dans ce PDF.
Lieu de rendez-vous : Tout Art Faire s’invite chez vous !
Intervenante : Julie Gimbal, Docteure en Histoire de l’Art, Maître de conférences associée en Histoire et Cultures architecturales, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Bordeaux / UMR 5319 Passages
La « POP CULTURE », élément de discorde sans fin et d’échanges vigoureux , est la quintessence de ce que les peuples ou les civilisations vont retenir de l’art , de l’histoire ou même d’évènements. Elle devient au fils des générations un véritable patrimoine.
Si la plupart des gens peuvent décrire « Indiana
Jones » comme un archéologue aventurier sans nécessairement avoir vu
l’œuvre, c’est bien que la pop culture est un savoir transmis par des chemins peu
académiques.
Dite populaire et moins élitiste, la pop culture apparait comme
un courant en perpétuelle mutation qui ne cesse de s’autoalimenter au travers
de clins d’œil et d’auto-hommages.
En jouant avec ses propres codes, Wonder Woman se
transforme au fil des années de pin-up à Amazone guerrière, les Schtroumfs sont
probablement marxistes ; quant aux Nazis, ils se dissimulent sur la face
cachée de la Lune comme dans le film « Iron Sky » ; film de science-fiction humoristique
finlando-germano-australien écrit et réalisé par Timo Vuorensola
L’Égypte, pays riche en histoire et en culture, qui a été le
théâtre de nombreux événements et personnages célèbres au fil des siècles
inspire encore et toujours. Elle est souvent présente dans la pop culture, que
ce soit dans les films, les livres, les jeux vidéo, les émissions de
télévision, etc.
Les films et les séries télévisées comme « L’Exode »,
« The Mummy » et « Stargate SG-1 » ont popularisé l’Égypte et
ses histoires mythiques auprès du grand public.
Les livres comme « Le Nil bleu » de Naguib Mahfouz, ou
dans un toute autre registre les jeux vidéo « Assassin’s Creed
Origins » ont également contribué à la popularisation de l’Égypte auprès du
public.
Les musées et les expositions comme le Musée du Louvre et le
British Museum ont également contribué à la popularisation de l’Égypte et de sa
culture en présentant des artefacts et des objets historiques provenant de ce
pays.
Au travers d’œuvres de pop culture, je vous propose de tirer les
liens de l’Egypte antique au-delà de la porte des étoiles.
La Sibérie est une immense étendue sauvage constituée essentiellement de taïga, voire de toundra. La multitude des peuples qui l’habitent, qu’ils soient Esquimaux, Tchouktches, Yakoutes, Aléoutes, Koriaks, Ulchis, Buryat, Evènes etc…ont dû affronter des conditions de vie périlleuses. Pour exister en ces terres hostiles ils ont développé une spiritualité où le shaman entretient un dialogue permanent avec les esprits protecteurs et utilise tout son savoir pour repousser au loin maladie, famine et conflits. L’art de ces peuples autochtones de Sibérie est à leur image : rutilant et coloré, c’est un artisanat qui est tout entier tourné vers les forces de vie et qui réactive subtilement une étrange symbiose entre l’animal, le végétal et l’homme.
Illustration : dessin original de Nicolas Bulf, d’après photo d’une petite sculpture Koriak conservée au musée Russe d’Ethnographie de Saint-Pétersbourg
Ces conférences en ligne sont proposées gratuitement à nos adhérents 2023 et réservées à eux. Si vous n’avez pas adhéré en 2023 et souhaitez suivre cette conférence, vous pouvez adhérer pour le cycle ici.
Afin de permettre le suivi du nombre de participants, nous vous demandons de vous limiter à une inscription par personne, même dans le cas où, pour des personnes vivant ensemble, un seul appareil serait utilisé pour assister à la conférence.
Elles dureront 30-40 min et seront suivies d’un temps dédié aux questions.
Inscription habituelle via HelloAsso. Vous recevrez ensuite par mail, 30 min avant la conférence, un lien qui vous permettra de rejoindre la visio-conférence.
Les conférences auront lieu sur l’application Microsoft Teams. La procédure à suivre pour rejoindre la conférence vous est expliquée dans ce PDF.
Cette conférence est organisée en partenariat avec les Archives de Bordeaux métropole
Dès le XVe siècle, les premiers ouvrages publiés, en dehors de la
Bible, étaient majoritairement à vocation scientifique, principalement des
récits de voyage, mentionnant les ruines contemplées, la nature observée… Il
fut dès le départ nécessaire d’illustrer ces ouvrages. L’invention de
l’imprimerie permettant une grande liberté, de nombreuses techniques permettant
de reproduire dessins, cartes et plans furent inventées au cours des XVe-XVIIIe
siècles. Nous reviendrons sur ces différentes techniques en les expliquant et
les illustrant par des exemples d’ouvrages présents au sein des Archives de
Bordeaux Métropole.
Illustration : Le vif pourtraict de la cité de Bourdeaux / anonyme / extrait de François de Belleforest, La cosmographie universelle de tout le monde (…), Paris, Nicolas Chesnau, 1575, t.1, p. 381-382/ xylographie rehaussée d’aquarelle / 1575 / ABM Fi 40 B 625 Rec. 260 (cliché Bernard Rakotomanga Archives Bordeaux Métropole)
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Mardi 21 mars 2023 de 19h à 20h30
Lieu de rendez-vous : salle de conférence des Archives de Bordeaux Métropole, Parvis des archives, rue de la Rotonde, 33100 Bordeaux
Intervenante : Marietta Dromain, docteure en archéologie
Les fouilles du sanctuaire d’Héraclès à Thasos (1934-2010) : une enquête archéologique sur les cultes grecs et phéniciens
La conférence présentera d’abord un état des connaissances
avant les fouilles : le sanctuaire d’Héraclès à Thasos a été visité par l’historien
Hérodote qui en attribue la fondation aux Phéniciens, venus exploiter des mines
d’or dans cette île nordique avant l’installation des Grecs. C’est un des
exemples les mieux documentés de la religion grecque.
Dans un second temps, on retracera les étapes des fouilles menées
par l’École française d’Athènes depuis 1933. L’exploration du sanctuaire révéla
un ensemble de bâtiments et un autel de sacrifice tout à fait normaux dans le lieu
de culte d’un dieu. Or, dans la mythologie grecque, Héraclès, fils de Zeus mais
né d’une femme mortelle, ne pouvait prétendre à ce statut : fallait-il y
voir une influence de l’Orient, le héros grec Héraclès ayant été identifié
au dieu phénicien Melqart, comme le précise Hérodote ?
À l’inverse, les fouilles révélaient aussi l’existence de
curieuses cavités creusées dans le rocher qui furent interprétées comme des « cupules »
destinées à des sacrifices héroïques : ce constat venait toutefois
contredire le texte d’Hérodote identifiant Héraclès au dieu Melqart !
Des fouilles plus récentes ont amené une relecture complète
à la fois du texte d’Hérodote et des découvertes archéologiques, avec des
conséquences sur l‘interprétation des sanctuaires religieux dans l’ensemble du
monde grec…
Il s’agit donc de faire un parcours méthodologique prenant
en compte l’interprétation des données textuelles, celle des données
archéologiques et l’histoire des rites dans la religion grecque.
Illustration : Vue générale des ruines du sanctuaire d’Héraclès à Thasos
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Jeudi 30 mars 2023 de 19h à 20h30
Lieu de rendez-vous : Athénée Père Joseph Wresinski, Place Saint-Christoly, 33000 Bordeaux
Intervenant : Jacques des Courtils, Professeur émérite d’archéologie, université Bordeaux Montaigne
Tarifs : 6€ pour les non adhérents // 3€ pour les adhérents
Gratuit pour scolaires, étudiants, demandeurs d’emploi et titulaires de la Carte Jeunes Bordeaux
Le CAPC a été fondé dans les années 70 et a pris sa place dans d’anciens entrepôts de denrées coloniales. Le CAPC est devenu un « musée de France » au début des années 2000. C’est un endroit qui jouit d’une réputation internationale. Il y a à l’intérieur du CAPC des œuvres « in situ » qui sont exposées de manière pérenne dans le musée, de même de nombreuses pièces de la réserve du musée sont soumises au regard du public lors d’expositions temporaires. Il y a donc un nombre important d’œuvres à méditer lors d’une déambulation et chaque visite révèle son lot de surprises et d’inattendus…toutes les tendances de l’art après 1950 sont représentées, que ce soit la figuration libre, Fluxus, l’Art sociologique, la Performance, le Conceptuel, l’Arte Povera ou encore B.M.P.T. C’est à une balade découverte de cet endroit atypique et néanmoins incontournable de Bordeaux que Tout Art faire vous convie.
Illustration : dessin original de Nicolas Bulf
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Dimanche 02 avril 2023 de 14h à 16h environ
Lieu de rendez-vous : devant le CAPC, 7, rue Ferrère, 33000 Bordeaux
Intervenant : Nicolas Bulf, artiste plasticien et guide-conférencier
Tarifs : 6€ pour les non adhérents // 3€ pour les adhérents (réservation via Tout Art Faire, entrée du musée gratuite pour le groupe)
Les images
stéréoscopiques sont constituées de deux vues de la même scène, présentées côte
à côte. L’une correspond à l’œil droit, l’autre à l’œil gauche. Visionnées
simultanément à travers un système optique, elles donnent l’impression de
profondeur et de relief. Tout démarre en 1832 avec l’invention du premier
appareil permettant de reconstituer artificiellement l’illusion du
relief : le stéréoscope. Cette invention serait peut-être tombée dans
l’oubli sans l’invention en 1839 du premier appareil photographique, le
daguerréotype.
A partir de 1852, la photographie stéréoscopique
connait un succès considérable. Une véritable industrie se met en place et des
millions d’images en relief sont diffusées dans le monde entier : monuments,
paysages, vie quotidienne, grands événements, personnages célèbres,… Les
salons bourgeois puis la population toute entière trouvent dans ces vues un
moyen de se divertir et d’apprendre, de voyager depuis son salon. « A Stereoscope in Every
Home » scande la London Stereoscopic Company !
Au XIXe siècle, le tourisme naissant, induit par le développement des voies de transport, constitue un sujet privilégié : stations balnéaires, alpines, voyages,. Et bien entendu, l’exploration de l’Égypte et de ses monuments en est un exemple remarquable, mettant à l’honneur des paysages qui ont parfois disparu. Des pays explorés par les photographes à l’occasion du « Grand Tour », l’Égypte est l’un de ceux qui sera le plus photographié par les premiers photographes. Mais pour réaliser leurs reportages, les photographes ont dû s’adapter aux conditions climatiques particulières de ce pays, jouer avec la chaleur parfois excessive, le vent, le sable…et faire preuve d’une véritable logistique dans la préparation de leur voyage et de leur matériel.
Cette conférence vous propose un « voyage stéréoscopique » à travers la collection du CLEM. À cette occasion, des lunettes de vision 3D pour anaglyphes (lunettes à films rouge et bleu) vous seront prêtées afin de voir le relief créé par ces vues.
Depuis 2015, le CLEM s’est lancé dans un projet ambitieux et
complètement inédit en France : collecter, numériser, indexer et valoriser des
photographies stéréoscopiques. Le CLEM a ainsi constitué une collection
numérique unique, riche de plus de 30 000 images, provenant de fonds privés et publics.
Ce vaste travail prend forme sur Le
Stéréopôle, portail de ressources sur la technique www.imagestereoscopiques.com, et
la Stéréothèque : www.stereotheque.fr,
véritable bibliothèque de photographies stéréoscopiques développée avec
Archeovision.
Cette conférence s’inscrit dans le
vaste événement du CLEM organisé en mai-juin 2023 : « Bordeaux
capitale du patrimoine stéréoscopique » qui réunira une exposition à la
Bibliothèque Mériadeck de Bordeaux, un congrès scientifique, une journée
scolaire et des événements grand public (conférences, visites, projections,…).
Illustration : Francis Frith, Le temple hypètre de Philae, photographie stéréoscopique, 1857, collection London Stereoscopic Archive
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Mardi 04 avril 2023 de 19h à 20h30
Lieu de rendez-vous : Athénée Père Joseph Wresinski, Place Saint-Christoly, 33000 Bordeaux
Intervenante : Catherine Carponsin-Martin, directrice du CLEM
Tarifs : 6€ pour les non adhérents // 3€ pour les adhérents
Gratuit pour scolaires, étudiants, demandeurs d’emploi et titulaires de la Carte Jeunes Bordeaux
Cette conférence est organisée en partenariat avec les Archives de Bordeaux métropole
Méconnues voire ignorées, les armoiries de Bordeaux
abondent pourtant dans notre patrimoine, dans les fonds d’archives et
collections muséales. François-Rémy Roqueton, doctorant à l’École
Pratique des Hautes Études, est invité à décrypter le sens de cet
emblème, son origine et son évolution. Il s’agira de commenter un à un
les différents éléments du blason : le fort, le lion, les lis, les eaux
et la lune ; de même que les ornements extérieurs de l’écu : les
antilopes, la couronne murale ou comtale et la devise. La conférence
présentera une riche iconographie mettant à l’honneur des vues
détaillées de nombreux monuments aux armes de Bordeaux ainsi que divers
documents d’archives. Exceptionnellement, pour le temps de l’événement
sera exposée une sélection de documents armoriés provenant des Archives
Bordeaux Métropole.
Illustration : Armoiries de Bordeaux, « Type adopté le 2 mai 1914 », A BX MET, 931 D2
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Mardi 25 avril 2023 de 19h à 20h30
Lieu de rendez-vous : salle de conférence des Archives de Bordeaux Métropole, Parvis des archives, rue de la Rotonde, 33100 Bordeaux